lost in translation: 2011

Intervenante : Lucie Pastureau

1 séance de prise de vue extérieure (2 novembre)

1 séance de tirage (16 novembre)

argentique / numérique

lieu : espace ultra-urbain, renvoyant à une idée utopique de la ville. Sentir la ville comme forme.

Constat d’un milieu déjà construit, mesure et appréhension de l’espace.

Le corps est-il à l’échelle de la ville, quel place y occupe-t-il, est il écrasé, contraint, libéré ?

Jouer avec les formes et les échelles.

Appréhender, mesurer l’espace. Se placer dans des endroits incongrus, dans des postures qui ne sont pas celles attendues. On aborde l'idée de performance, dans laquelle on se met en scène dans le but de réaliser une action artistique. Penser au corps comme un élément géométrique ne faisant qu'un avec l'architecture.

Photographiquement : travail de mise en scène, de cadrage par rapport à un élément dans un ensemble.

Qu'est-ce que la performance ?

La performance est par essence un art éphémère qui laisse peu d'objets derrière lui. Certains historiens de l'art situent l'origine de la performance dans la pratique des rituels ou rites de passage observés depuis l'origine de l'Homme. D'un point de vue anthropologique, la performance s'est manifestée et définie de différentes manières à travers les cultures et les âges. Selon Richard Martel, l'art performance constitue peut-être la forme artistique la plus ancienne de l'humanité. Une chose semble néanmoins claire : le corps, le temps et l'espace constituent généralement les matériaux de base d'une « performance ».

Extrait d'un article de Wikipédia à retrouver dans son intégralité en cliquant ici.